Dojo
Le projet de rénovation du dojo Cathy Arnaud s'inscrit dans la dynamique de la politique municipale de soutien aux associations sportives et de rénovation des équipements sportifs (piscine, piste d'athlétisme...).
Le nouveau dojo a été livré en septembre 2021, après neuf mois de concertation et de travail organisés avec les usagers.
Il porte le nom de Cathy Arnaud, judocate double championne du monde et plusieurs fois championne d’Europe (volonté de la municipalité de donner des noms de femmes aux équipements municipaux et aux nouvelles rues).
Coût : 2 millions d'euros (dont subventions Région Occitanie 199 000 € et Conseil départemental de la Haute-Garonne 300 000 €).
Le projet : rénovation et extension
Objectifs :
- améliorer les conditions de confort des usagers : performance énergétique et thermique du bâtiment, acoustique de l’espace d’activités, accessibilité
- accroître la capacité d'accueil : doublement de l'espace tatamis (400 m2) et des vestiaires, création d'un club house
Le dojo accueille aujourd'hui les clubs d'arts martiaux (judo, karaté et Yosekan), les élèves des écoles et Alaé de Ramonville, l'Aséi, les collégien·nes du collège A.-Malraux, les crèches, le centre social et l'association Forme et Évasion, soit plus de + de 2600 utilisateurs·rices.
Le dojo labellisé Énergie 4 Carbone 1
Dans le cadre de sa politique environnementale, la municipalité a fait le choix de réaliser un bâtiment à hautes performances environnementales, c’est à dire à énergie positive et à faible empreinte carbone, pour répondre notamment aux dernières exigences du Plan local d'urbanisme, tout en offrant aux usagers un confort renforcé, économe et durable.
Le dojo Cathy Arnaud a reçu le label Énergie + Carbone - (E4C1) en décembre 2021, attestant de sa très bonne performance environnementale et énergétique.
Le label Énergie 4 Carbone 1, délivré par l’organisme Certivéa, certifie que le dojo est un bâtiment à énergie positive dont la production d’énergies renouvelables est au moins équivalente à ses consommations (E4), avec un faible impact en termes d’émissions de gaz à effet de serre sur l’ensemble de son cycle de vie (C1) et des matériaux utilisés.
Des matériaux limitant les perturbateurs endocriniens
La qualité de l’air intérieur a été soigneusement étudiée dans la rénovation du bâtiment pour limiter la présence de perturbateurs endocriniens (substances chimiques néfastes pour la santé et l’environnement). La mairie s’engage activement dans cette démarche de lutte contre les perturbateurs endocriniens depuis plusieurs années.
En images
Restez connectés