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Collecte de photos anciennes de la ville

Publié le 19 juin 2023

Vous en avez peut-être dans vos tiroirs, au fond d'un carton au grenier ou dans vos albums photos ?

Ramonville old photo

Retour du « Crucifix de Roubinis »

Publié le 31 mai 2022

Monument disparu pendant un siècle, le Crucifix de Roubinis est de retour sur les terres ramonvilloises.

Crucifix de Roubinis

Projet autour du port technique et du quartier fluvial

Publié le 28 janvier 2022

Voies navigables de France (VNF) et la ville ont signé une nouvelle convention pour une durée de 25 ans afin de développer un projet d’aménagement du port d’escale technique et du « quartier fluvial ».

Canal Port technique

À voir - Le château de Soule

Publié le 30 novembre -0001

Acquis en 1999 par la municipalité, le château de Soule, composé d’une maison de maître du XVIIIe siècle et de ses dépendances, est un site remarquable entouré d’un parc de 3 ha, ouvert au public.
La réhabilitation du château a permis de redonner une forte identité à ce patrimoine communal. Il accueille aujourd'hui l'école de musique municipale, la crèche Firmin-Marbeau et un pôle d'animation associatif. Le parc, ouvert au public, est propice aux balades et à la détente.


Le château Pailhès appartenait à une famille d’aristocrates de Ramonville, les Pailhès de Villemur qui portait, à la veille de la Révolution, le titre de seigneur de Ramonville. Sa représentante la plus illustre fut Jeanne-Anne de Bousquet. Épouse de Robert de Villemur, comte de Pailhès et seigneur de Ramonville, elle hérita des anciens domaines du roi, acheté en 1695 à Louis XIV par son ancêtre Balthazar de Boutaric, conseiller au parlement de Toulouse.
Construit par ce dernier, le château de Soule (ou encore château de la Comtesse, château Pailhès, propriété de Biradom) garde les traces de ce passé, comme le pigeonnier construit après 1718 qui porte encore le nom de Pigeonnier de la Comtesse.

Street art : les murs aux milles facettes

Publié le 02 novembre 2022

Le graffiti est un art éphémère et les graffeurs ont, depuis des années, un site bien à eux pour exposer leur créativité : les murs de Ramonville au Port technique.

MakArt Edgardo Ferran 1

Art par MakArt - Photo © Edgardo Ferran

Le Canal du Midi

Publié le 02 mars 2022

En Haute Garonne, la prospérité n'est apparue qu'à partir du moment où le département fut doté d'un remarquable outil économique : le Canal du Midi.

Cet ouvrage de Pierre-Paul Riquet construit dès 1666, d'une longueur de 240 km, a eu pour vocation le transport des marchandises, notamment des blés du Lauragais jusqu'en 1970.

Aujourd'hui, le Canal du Midi fait désormais partie du patrimoine écologique et historique du département et sert aux vacanciers en péniche qui découvrent à un rythme tranquille les richesses du pays. Un tourisme fluvial à découvrir en famille ou entre amis, avec ou sans escales.


 Le Canal du Midi, Patrimoine Mondial de l'Humanité

5 décembre 1996 : l'UNESCO inscrit le Canal du Midi au patrimoine mondial de l'humainté (22ème site en France).

A vélo le long du Canal : 40 km de pistes cyclables permettent de longer l'oeuvre de Pierre-Paul Riquet, de Toulouse à Port Lauragais (limite départementale avec l'Aude) en passant par Ramonville ; depuis la construction en 1991 de cette piste large de 3 mètres permettant une circulation à double sens, quelques 10 000 cyclistes empruntent chaque année cette ancienne voie de halage.

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 Les dates-clé

 

  • 15 septembre 1662 : Pierre-Paul Riquet soumet à Colbert son projet de construction du Canal Royal des Deux Mers.

 

 

  • 5 octobre 1666 : l'Édit de Saint-Germain-en Laye ordonne la jonction des mers Océan et Méditerranée par un canal de communication.

 

 

  • 14 octobre 1666 : le Conseil d'État accorde à Riquet la mise en œuvre des ouvrages de la première partie du Canal, de Toulouse à Trèbes, près de Carcassonne.

 

 

  • 1er janvier 1667 : début des travaux.

 

 

  • 13 avril 1667 : pose de la première pierre du bassin de Saint-Ferréol.

 

 

  • 17 novembre 1667 : pose de la première pierre de l'écluse de l'embouchure de la Garonne.

 

 

  • Mai 1668 : premiers essais de navigation sur la Rigole de la Plaine.

 

 

  • 23 janvier 1669 : la construction de la seconde partie du canal, de Trèbes à l'étang de Thau, est adjugée à Riquet.

 

 

  • 1er octobre 1680 : mort de Riquet. Il ne reste qu'une lieue à creuser.

 

 

  • 15 mai 1681 : première inspection générale et mise en eau du Canal.

 

 

  • 17 décembre 1828 : la compagnie Magendie-Doin à dresser les projets d'un "Canal Latéral à la Garonne".

 

 

  • 1828 : La compagnie Magendie-Doin propose la construction d'un Canal latéral à la Garonne.

 

 

  • 1838 : début de la construction du Canal Latéral à la Garonne.

 

 

  • 1844 : ouverture à la navigation du tronçon Toulouse - Montauban.

 

 

  • 1856 : fin de la construction du Canal Latéral à la Garonne. La même année, trafic record sur le Canal du Midi avec 110 millions de tonnes de marchandises transportées au kilomètre et près de 100000 passagers.

 

 

  • 1935 : l'arrivée sur les péniches de la propulsion à moteur met fin à 250 ans de traction animale.

 

 

  • 1973 : le Canal Latéral à la Garonne est porté au petit gabarit européen de 350 tonnes par l'allongement de ses écluses à 40 m et le recreusement des biefs.

 

 

  • 1979 : après une période de déclin, le trafic redevient significatif. Si les dernières péniches commerciales prennent leur retraite, la navigation de plaisance prend son essor.

 

 

  • 7 décembre 1996 : le Canal du Midi est classé au Patrimoine Mondial de l'Humanité par l'UNESCO. Le certificat officiel précise que cette distinction "consacre la valeur universelle exceptionnelle d'un bien culturel ou naturel afin qu'il soit protégé au bénéfice de l'humanité".

 


 Quelques chiffres

 

  • 241 km de Toulouse à l'Etang de Thau,
  • 63 écluses,
  • 20 mètres de largeur,
  • 2 mètres de profondeur,
  • 58 mètres de dénivelé de Toulouse au seuil de Naurouze, 110 mètres du Seuil de Naurouze à Sète.

 

 

Banc participatif : une oeuvre unique dans l'espace public

Banc participatif : une oeuvre unique dans l'espace public

Publié le 24 janvier 2020

Un deuxième banc participatif sera prochainement installé dans le parc du château de Soule.

Le château de Soule (anciennement Biradom puis la Comtesse)

Publié le 30 novembre -0001

Le château Pailhès appartenait à une famille d'aristocrates de Ramonville, les Pailhès de Villemur qui portait, à la veille de la Révolution, le titre de seigneur de Ramonville. Sa représentante la plus illustre fut Jeanne-Anne de Bousquet. Épouse de Robert de Villemur, comte de Pailhès et seigneur de Ramonville, elle hérita des anciens domaines du roi, acheté en 1695 à Louis XIV par son ancêtre Balthazar de Boutaric, conseiller au parlement de Toulouse.

Construit par ce dernier, le château de Soule (ou encore château de la Comtesse, château Pailhès, propriété de Biradom) garde les traces de ce passé, comme le pigeonnier construit après 1718 qui porte encore le nom de Pigeonnier de la Comtesse.

Télécharger l'article de La Dépêche La vie des girouettes du château de Biradom

Racheté par la municipalité en 1999, le château de Soule et son parc a fait l'objet d'une réhabilitation avec implantation d'une crèche, de l’école de Musique municipale et d'un pôle associatif.